RéMila, c’est son prénom, c’est le nom d’un village en Algérie. Ça vient du mot "sable" en arabe. Ça fait aussi 3 notes de musique. C’est peut-être là que tout à commencé. Parmi les premières rappeuse en France, elle pose sur les mixtape de Cut Killer, sur C8 ou au Théâtre Chaillot. Elle chante avec les Ogres, slame avec Souleymane Diamanka, a fait les premières parties de Bernard Lavilliers, Sanseverino, Fersen mais aussi Ben l’Oncle Soul, Féfé, Sly Johnson ou Jenifer. RéMila prête sa plume à d’autres artistes. Elle gagne des concours, joue avec des musiciens chevronnés. Performeuse, c'est son métier d’ADN. Urbaine mais pas que, mélange d’influences reggae, rap, slam et chanson française. RéMila est décloisonnée et livre son art à l'instinct. Hors des cases.
Premières parties : Bernard Lavilliers, Ben L’oncle Soul, Yannick Noah, Jenifer, Joyce Jonathan, Carmen Maria Vega, Oldelaf, Zoufris Maracas, Giédré, Mountain Men, La Rue Ketanou, Alexis HK, Thomas Fersen, Sanseverino, L.E.J, Les Hurlements D’Leo, Coeur de Pirate, Féfé, Mai Lan, Hoshi, Pigalle, Sly Johnson etc ...
RéMila joue dans toute la France, depuis 8 ans, accompagnée de Hugo Barbet (guitare/machine).
On tombe forcément sous le charme de ce duo tendrement sauvage et accrocheur sur une mise en scène de David Roquier (Les Joyeux Urbains). Un On passe du rire au « deep », du rap cinglant on glisse vers la chanson assumée. RéMila explore à travers ses textes la vie d’une femme hyperactive, tiraillée entre le désir fougueux d’indépendance et le besoin d’une vie à deux.